Tu nous as dit, Seigneur, d’écouter ton Fils bien-aimé, fais-nous trouver dans ta Parole les vivres dont notre foi a besoin : et nous aurons le regard assez pur pour discerner ta gloire.
Notre chemin vers Pâques se balise. Il nous est demandé d’écouter le Fils bien-aimé. Cette écoute de la Parole, qui est Jésus lui-même, est posée comme un fondement pour nous orienter vers le mystère de Pâques. Puisons chaque jour dans ces « vivres » pour nourrir notre vie, notre foi, notre mission. A l’exemple d’Abraham, dans les moments d’épreuves ou de joie, d’espérance ou de doute, disons « Me voici !», avec confiance et abandon, en vraie sœur de la Providence !

Ecouter le Bien-aimé, c’est contempler longuement le Christ mort et ressuscité pour discerner sa gloire. Après la contemplation, n’oublions pas de descendre de la montagne de la rencontre avec Dieu pour entendre le cri des pauvres et le cri de la terre ! Que ce temps de Carême ouvre nos yeux sur les attentes et les besoins des démunis proches de nous ou plus lointains, sur les défis qu’affronte notre planète, défi écologique en particulier, mais aussi sanitaire, humain, sociologique, économique, car tout est lié… A quelles conversions de regard, de cœur, de partage suis-je prête ? « Quand je pense aux défis qui nous attendent, je me sens dépassé. Mais je ne suis jamais désespéré. Nous sommes accompagnés. » (Pape François. Un temps pour changer)

Extrait de la lettre de Carême de Sr Jacqueline Barondeau, Supérieure générale

Une  proposition de Élodie Verdun-Sommerhalter, jeune bibliste créative du service des formations de notre diocèse :  une formation numérique dynamique sur le prendre soin. 
2ème semaine de carême :

Message du Pape François